Et si la paix était plus fragile qu'on ne pouvait le croire ?
Et si la liberté d'expression disparaissait peu à peu avec elle ?
Comment réagirions-nous ? Comment continuer? Lutter ? Laisser faire ? Participer ? Résister ?
Dans la ville de papier, il y a cinq personnages pour deux interprètes.
Il y a des murs fragiles et la paix qui part en fumée.
Il y a les membres d'une même famille où chacun s’interroge et témoigne.
Il y a la barre d'un tribunal et l'estrade du discours.
Il y a le froid et les chaleurs du silence.
Les souvenirs des uns et les rêves des autres dans les danses, les mots et les mélodies. Il y a plusieurs générations, c'était peut-être hier et sans doute aujourd'hui.
Et comme «il faut beaucoup de silence pour que le cri devienne un chant»,
il faut beaucoup de sueur, de salive et de sons pour libérer l'expression !

Les textes originaux, les danses d'inspiration krump et contemporaine et la création musicale donnent voix et corps à certains de nos silences familiaux, sociaux et politiques.
Des silences qui entravent et d'autres qui libèrent, lourds ou virevoltants, comme l'espoir de la pluie qui éteint l'incendie.

Distribution :

Anaïs Lairon-Reynier : Conception du spectacle et comédienne-danseuse
Léa Jamilloux : Danseuse Krump et contemporain

Autour du plateau :

Marin Bonnazi : Composition musicale
Wilda Phillipe : Direction d'acteur et Regard extérieur à la mise en scène
Margot Falleti : Création lumière et Régie
Virgine Costet et Eric Batbedat : Crédits Photos

Partenaires :

La Brique Rouge/ Toulouse, Le Théâtre de l'enclos/Escalquens, Centre culturel Alban Minville/Mairie de Toulouse, Le Pole Nord/Marseille, Le Rond Point/ Labruiguière, L'Escale/ Tournefeuille, Ville de Gaillac, Théâtre le Colombier/Cordes sur ciel, Le RING/Toulouse

Soutiens : L'Espace Roguet, Département 31/ Ville de Toulouse.